SEARCH
Jean Messiha : «Le rôle de la France a toujours été d’être une puissance d’équilibre»
CNEWS
2023-02-18
Views
24
Description
Share / Embed
Download This Video
Report
Président de l’institut Apollon, Jean Messiha revient sur le changement de stratégie d’Emmanuel Macron face à la Russie : «Le rôle de la France, dans tous ces types de conflits, a toujours été d’être une puissance d’équilibre».
Show more
Share This Video
facebook
google
twitter
linkedin
email
Video Link
Embed Video
<iframe width="600" height="350" src="https://vclip.net//embed/x8if4j6" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
Preview Player
Download
Report form
Reason
Your Email address
Submit
RELATED VIDEOS
00:23
Vincent Desportes : «Il faut toujours être extrêmement prudent, nous sommes toujours sous menace nucléaire mais moins qu’au début de la guerre»
00:35
Jean Messiha : «Je me réjouis toujours lorsque la France gagne quelque soit le domaine dans lequel elle gagne»
01:49
Jean Messiha : «Toutes les sociétés ont toujours été violentes, la question est de savoir pourquoi»
01:49
Jean Messiha : «Je suis fasciné sur la capacité de notre état de droit de protéger toujours les coupables et non les victimes»
01:09
Jean Messiha : «La gauche nous explique que ça a toujours existé l’insécurité. Je suis désolé, quand j’avais 13-14 ans, je n’ai pas souvenir qu’on s’attaquait à des vieilles personnes»
00:54
Dimitri Pavlenko : «La Turquie joue ce rôle de puissance d'équilibre»
00:53
Louis de Raguenel : «Là ça se passe à Marseille donc c'est toujours caricatural (...) Ce qui m'inquiète beaucoup plus, c'est que maintenant ça touche beaucoup de villes moyennes (...) qui deviennent des mini-Marseille en puissance»
01:07
Élie Tenenbaum : «Il faut toujours prendre au sérieux un dirigeant d'une puissance nucléaire qui émet des menaces»
00:57
Alexia Germont : «Je fais partie de ceux qui pensent qu'on doit toujours être debout»
01:14
Philippe Bilger : «C'est la volonté qu'il a toujours manifesté de ne pas donner l'impression que les 10 mois qui lui reste vont être plombé par le sanitaire»
00:46
Charlotte d'Ornellas : «Je note d'abord que le "pour tous", c'est toujours dans les mêmes quartiers en fait. Et il faut être deux pour qu'il y ait une rencontre avec la culture, certains préfèrent d'autres cultures que la nôtre»
00:44
Alexandre Devecchio : «Finalement, on risque d'être, encore et toujours, dans le "en même temps"»