Délégué national de l’unité SGP, Yann Bastière pointe le fait que les témoignages recueillis par la police dans le cadre de l’enquête pour détention d’images pédopornographiques visant Pierre Palmade ne suffisent pas à faire l’enquête. Des analyses poussées des ordinateurs perquisitionnés chez l’humoriste vont nous permettre d’en savoir plus : «La parole est libre, mais bien sûr qu’une procédure va s’établir»